Les champs d’application
Le monde économique
La dynamique des relations entreprises-étudiants-chercheurs
Une éducation responsable et équitable se consolide par la rencontre avec des personnes qui, quoique occupant des fonctions importantes dans leurs entreprises, prennent plaisir à échanger avec les étudiants. La confiance en l’avenir nait de ces rencontres.
Nous avons demandé à tous, professeurs, assistants, chefs d’entreprises, étudiants ce que représentait l’OVSM pour eux.
Pour visionner la vidéo sur l’OVSM à l’occasion de ses 20 ans, cliquez sur l’image ci-dessous.
Vidéo des 20 ans de l’OVSM

Le fonctionnement de l’OVSM
Vidéo de présentation de la relation Étudiants/ Dirigeants à l’OVSM
L’OVSM (Observatoire des Valeurs et de la Société et du Management) a été créé en 1999 à l’initiative de Michelle Bergadaà, Professeur ordinaire de la faculté des Sciences Économiques et Sociales (SES), aujourd’hui Faculté d’Économie et de Management (GSEM) de l’Université de Genève, et de dirigeants de grandes entreprises représentatives de leur secteur d’activité qui souhaitaient s’impliquer dans son développement.
L’OVSM est un espace de rencontre entre les trois mondes économique, académique et estudiantin. La synergie entre des acteurs pleinement impliqués de ces trois sphères a permis de développer notre concept original. Ensemble, ils observent les mutations économiques et sociales et ils définissent les actions commerciales et stratégiques à conduire pour rester proactif dans un environnement évolutif.
Sa philosophie
L’échange commercial s’est toujours situé au cœur des relations sociales, en tant que fondement et ciment des civilisations.
Le commerce est générateur de découvertes et de courants culturels par les échanges d’information, de messages et d’impressions qu’il implique. Il est donc créateur de valeur, à la condition qu’il s’enracine dans une solide éthique organisationnelle et dans la volonté des hommes d’instituer des normes de déontologie rigoureuses.
L’OVSM est né de la volonté commune de chercheurs, d’étudiants et de responsables en entreprises de créer un espace de réflexion et d’action dévolu à cette dimension humaine, sociale et économique.
Tout au long d’une année universitaire, professionnels et chercheurs de l’OVSM ont ainsi de multiples occasions de se rencontrer et d’échanger leurs points de vue.
Chaque année, un dossier ou un livre reprenant les principaux résultats du thème annuel de la recherche-interaction est édité.
Son rôle
- Observer les mutations sociales et les enjeux du management par la réalisation de “recherches-interactions” conduites par des chercheurs, des dirigeants d’entreprises et des étudiants ; en diffuser les conclusions.
- Innover en matière de pédagogie et de transfert de connaissances par un lien très étroit entre le monde économique et le monde académique, mais aussi au travers des nouvelles techniques de communication qui remettent en question les systèmes traditionnels de formation.
- Analyser les mutations de la responsabilité managériale, de la communication et des stratégies du Marketing par des investigations réalisées au sein du laboratoire de recherche dirigé par le Pr Bergadaà.
- Concevoir ses manifestations comme des espaces de rencontre, de dialogue et d’action, pour les étudiants de l’université et les acteurs du monde économique et social.
- Inscrire ses réflexions et ses actions dans le souci d’une mise en œuvre pragmatique de l’éthique intellectuelle, sociale et managériale.

Le séminaire résidentiel
Tout au long de l’année universitaire, professionnels et chercheurs de l’OVSM ont de multiples occasions de se rencontrer et d’échanger leurs points de vue.
Chaque année, un nombre restreint de hauts dirigeants se réunit pour débattre ensemble d’une thématique commune, dans le cadre d’un séminaire résidentiel de deux jours et demi. Le séminaire est introduit par la conférence d’un expert international du thème retenu, puis donne lieu à des discussions entre participants. Il permet de faire émerger des propositions au niveau des pratiques individuelles des dirigeants comme des organisations dont ils ont la charge. Depuis 2021, le séminaire a quitté Lenk, pour se tenir sur le canton de Vaud (La Tour-de-Peilz, Lausanne) ou de Genève.


Les thèmes abordés
- Thème 2021 : Entre urgence climatique et rentabilité, entre continuité et disruption : quelles décisions pour le dirigeant ?
Conférencier : Lars Zimmermann, Managing Director of PUBLIC Germany
Dates : du mercredi 26 mai au vendredi 28 mai 2021 - Thème 2020 : Comment le numérique impacte les rythmes temporels du dirigeant ?
Conférencier : Philippe Gendret
Dates : du mercredi 11 mars au vendredi 13 mars 2020 - Thème 2019 : L’éthique du dirigeant à l’âge du numérique
Conférencier : Philippe Monnier
Dates : du mercredi 6 mars au vendredi 8 mars 2019 - Thème 2018 : Gouvernance et santé des dirigeants
Conférencier : Olivier Torres, AMAROK
Dates : du mercredi 28 février au vendredi 2 mars 2018 - Thème 2017 : Les décisions absurdes
Conférencier : Christian Morel
Dates : du mercredi 22 au vendredi 24 mars 2017 - Thème 2016 : Transmission et perte de savoir lors du départ du dirigeant
Conférencier : Pierre Mariot, Keolio, Fondateur
Dates : du mercredi 2 au vendredi 4 mars 2016 - Thème 2015 : Enjeux économiques et sociaux de la RSE : mode ou nécessité ?
Conférencier : Haïm Korsia, Grand Rabbin de France
Dates : du mercredi 11 au vendredi 13 mars 2015 - Thème 2014 : Rôles et responsabilités du Conseil d’administration et de la Direction générale
Conférencier : Dominique Freymond, Consultant en gouvernance d’entreprise
Dates : du mercredi 5 au vendredi 7 mars 2014 - Thème 2013 : La temporalité
Conférencier : Pierre-Jean Benghozi, Ecole Polytechnique de Paris
Dates : du jeudi 7 au vendredi 8 mars 2013 - Thème 2012 : Sens et Cohérence
Conférencier : Hugues Derykcke, ESSEC
Dates : du jeudi 15 au vendredi 16 mars 2012 - Thème 2011 : Atelier cinéma
Conférencier : Pierre-Jean Benghozi, Ecole Polytechnique de Paris
Dates : du jeudi 25 au vendredi 26 mars 2011 - Thème 2010 : Avec les indiens Kogis : quelle éthique pour traverser les siècles ?
Conférencier : Eric Julien, Alkhémia Consultant
Dates : du jeudi 4 au vendredi 5 mars 2010 - Thème 2009 : Crise des créances, crise des croyances
Conférencier : Alain Simon
Dates : du jeudi 4 au vendredi 6 mars 2009 - Thème 2008 : Knowledge Management
Conférencier : Albert David, Ecole des mines
Dates : du jeudi 13 au vendredi 14 mars 2008 - Thème 2007 : Simulation stratégique
Conférencier : Alain Roux
Dates : du jeudi 22 au vendredi 23 mars 2007 - Thème 2006 : S’approprier internet pour investir efficacement
Conférencier : Jean-Marie Choffray
Dates : du mercredi 29 au vendredi 31mars 2006 - Thème 2005 : La prise de parole en public
Conférencière : Florence Clarac
Dates : jeudi 17 et vendredi 18 mars 2005

Atelier Photos et techniques projectives
Dès qu’un thème paraît intrigant aux uns comme aux autres des dirigeants d’entreprises sponsors, ils souhaitent en débattre de manière conviviale.
L’une des techniques que nous affectionnons pour libérer les dirigeants d’entreprises de leurs réflexes de rationalisation est le test projectif.
- Nous leur demandons de prendre une photo avec leur smartphone du thème de débat choisi. L’exemple ci-après est « les temporalités multiples du dirigeant d’entreprise «.
- Nous exposons les photos comme représenté dans l’image ci-dessus. Chacun se déplace librement pour les regarder et les commenter.
- La surprise, la spontanéité et l’interaction induisent une dynamique de groupe confiante.
- Instantanément les participants se reconnaissent dans l’une ou l’autre des images présentées et ils verbalisent clairement pourquoi ils se reconnaissent dans l’une ou l’autre.
- En faisant parler les participants sur la photo dont ils sont le plus proches, nous leur permettons de s’interroger sur le signifié réel des situations, au-delà de la représentation iconique et tronquée qu’ils ont souvent de la réalité.
Les photos ci-après illustrent une soirée thématique sur le thème : Les temporalités multiples des dirigeants.






















Toujours à l’écoute des étudiants
Les dirigeants des entreprises sponsors sont attentifs à ce que pensent et ressentent les étudiants.
Alors que les étudiants étaient, comme tout le monde, confinés pour cause de pandémie de COVID-19, ils s’interrogeaient quant à leur avenir. Les dirigeants partenaires de l’OVSM ont réalisé un brainstorming pour leur apporter des réponses. Le texte qui suit est issu des résultats de ce dialogue ouvert.
Ce texte a été communiqué aux étudiants de la faculté Geneva School of Management and Economics (GSEM) de l’Université de Genève et à leurs enseignants.
« Que dire aux étudiants ? Excellente question… excellente… »
Le contexte
Il y aura un avant et un après-pandémie, mais il ne faut pas se laisser abuser à croire que tout va changer. Nous faisons face à une crise profonde, qui va se traduire par une récession historique, une explosion du chômage et des faillites, une baisse du niveau de vie. Mais, ce ne sera pas une nouvelle crise de 1929 (qui ne fut surmontée qu’avec la guerre) : (a) le réflexe protectionniste est beaucoup moins présent aujourd’hui, (b) l’environnement de taux d’intérêt est infiniment plus bénin, (c) le système financier est bien plus robuste grâce aux mesures prises suite à la crise financière de 2008.
N’oublions pas que ce n’est pas non plus une guerre et les machines/outils/capital ne sont pas détruits, mais toujours présents et en état de fonctionner. Et puis, il faut croire en cette incroyable capacité qu’à notre gouvernement à se mobiliser efficacement pour répondre à l’urgence de trésorerie pour nos entreprises et la capacité des banques de suivre ce plan en quelques jours.
Et ce ne sera pas la fin de la mondialisation, car les réalités économiques et industrielles sont ce qu’elles sont. Ce qui va changer, par contre, ce sera une approche plus prudente vis-à-vis des chaînes de valeur industrielles et probablement une relocalisation de certaines activités.
En revanche, focalisé sur le court terme, on oublie souvent les dégâts que le coronavirus causera dans les pays pauvres et qui pourraient être dramatiques. Et, si le monde en développement s’écroule, avec ce que l’on y connaît de violence pour s’approprier le peu de capital qui subsiste, c’est bien notre civilisation et notre système économique qui seront aussi en grand danger.
Alors dans les entreprises, le « Corporate Social Responsibility » va devoir quitter les rives du « bien-penser-pour-entreprises-soucieuses-de-leur-image ». Le CSR va entrer dans du vrai développement de projets d’envergure au service des communautés qui sont hors-jeu (les individus pauvres et les pays en développement), dont les business model auront été détruits ou fortement endommagés.
Défis des étudiants
La grande majorité de nos étudiants a compris la fragilité de notre environnement et de notre société. Ils vivent aujourd’hui, en accéléré, une vraie leçon de vie, dans laquelle se posent beaucoup de questions sur la hiérarchie des valeurs et sur le sens profond de la vie.
Nous aurons tous appris à reconnaître des professions peu valorisées jusque-là, dont le courage assure la survie de nos sociétés en périodes de crise. Nous aurons vécu chez nous ce que les pays nettement moins avantagés connaissent depuis longtemps : la société, la civilisation tient parce qu’il y a un réseau étroit de personnes qui sont dans le don, dans le « care ». Il y aura effectivement un ‘après’ un peu plus juste, plus solidaire et plus respectueux de notre planète. Nous ne pourrons pas retomber dans nos anciennes habitudes de consommateurs. Il nous faut repenser nos objectifs d’intervention en éducation durable. Il ne suffira pas de faire quelques dons une fois par an pour se donner bonne conscience.
Cette grande crise est aussi une formidable opportunité d’apprendre pour nos étudiants. Surtout s’ils sont en fin d’études, donc capable de déchiffrer ce qui est en train de se dérouler sous leurs yeux. Mais c’est vrai également pour nos jeunes collaborateurs en début de carrière encore en position d’observateur et pas encore de décideur sous pression. Car la crise actuelle est pour nous, dirigeants, d’une violence inouïe. Nous n’avons jamais eu autant de travail pour la gérer que depuis qu’il n’y a plus d’activité…
En termes de perspectives d’emploi, cela signifie probablement que l’industrie dans nos pays européens aura à l’avenir plus de potentiel qu’on ne le pensait, ce qui rouvre le jeu dans la concurrence entre industrie et services pour les jeunes diplômés. L’objectif ne sera pas tant de « faire du chiffre » que de maintenir un lien avec nos clients et proposer des alternatives locales et de proximité. Il ne s’agira pas de laisser les GAFA s’approprier nos clients. De nouvelles compétences vont naitre aux plans individuels et collectifs et de nouveaux métiers vont émerger loin des services « à la mode » que nous avons connus.
Les prochains mois ne vont peut-être pas être très drôles pour ces jeunes, mais dans vingt ans ils seront très fiers d’avoir contribué à construire un monde dans lequel ils auront réussi. Car en très peu de temps, ils auront évolué dramatiquement et seront passés d’une insouciance compréhensible à ce stade de leur vie à un vrai sens des responsabilités. Ils seront devenus, pour beaucoup, de vrais acteurs dans la société au travers d’actes de volontariat.
Les moyens d’action des étudiants
Nos étudiants ont l’avantage d’être à la charnière de deux époques et de connaître les avantages et les faiblesses de celle qui s’achève.
- Au plan intellectuel, nous leur recommandons d’être curieux de tous les tenants et aboutissants de cette crise. Et ce, même si certains sujets peuvent sembler ardus, par exemple la politique monétaire et la gestion de la liquidité par les banques centrales. Ils doivent lire attentivement la presse économique et financière et les analyses publiées et se faire expliquer ce qu’ils ne saisissent pas. Il n’y a aucune honte à ne pas comprendre, il y en aurait à ne pas se surpasser.
- Sur le plan des compétences, ils doivent être persuadés qu’ils auront à gérer d’autres crises et d’autres récessions au long de leur parcours professionnel. Il leur faudrait donc :
- Mettre les 18 prochains mois à profit pour apprendre à bien se connaître eux-mêmes, leurs émotions, leurs envies profondes et leurs valeurs.
- Avoir une conscience claire de leurs responsabilités à l’égard de toutes les personnes qui constituent notre société.
- Devenir de véritables entrepreneurs dotés d’une attitude volontaire et civique qui leur permettra de façonner leur avenir.
- Imaginer sans complexes le positif (ce qu’ils aimeraient ; comment ils espèrent leur futur) et en exclure le négatif (ce dont ils ne veulent pas ou plus pour eux-mêmes et pour la société).
« Nous, dirigeants, savons que les étudiants auront des doutes sur l’avenir économique et les difficultés à court terme pour trouver des stages ou des emplois. C’est notre rôle de les rassurer sur la capacité des institutions et de l’économie à rebondir et à se réinventer.
Nous croyons en eux, en leur capacité à pouvoir évoluer en fonction des nouvelles opportunités.«
Genève, le 13 avril 2020 – Pr. Michelle Bergadaà, MBA, Ph. D.

Introduction à la dirigeance d’entreprise et aux enjeux de société
Il est essentiel que les étudiants rencontrent de grands dirigeants pour appréhender les enjeux de leurs futures carrières. À une époque de mutation, il semble tout aussi fondamental que les hauts dirigeants aient un contact direct avec les milleniums.
L’équation de l’OVSM « Enjeux de société => Mutation des savoirs + Employabilité » est le fil rouge de tous les projets de l’OVSM. Ces termes engageants se déclinent désormais dans les enseignements et dans chacun des dicastères.
L’objectif a toujours été, depuis la création de ce modèle pédagogique en 1999, de confronter de jeunes étudiants à un panel de dirigeants d’entreprises représentatif de notre tissu économique. Parce que les étudiants n’ont, à ce stade de leurs études, qu’une idée imprécise de ce que sera leur contexte professionnel futur, cette proposition de nouveau cours pour 2022 vise à les projeter dans la réalité managériale et ses enjeux.
Les conférences seront données par un panel d’experts de haut niveau dans leur domaine et représentant une large catégorie de secteurs, de tailles d’entreprises et d’expériences. La formule du cycle de conférences adoptée en 2000 et assurée par les membres institutionnels devra se poursuivre. L’analyse des évaluations des étudiants montre clairement que les entreprises parlant explicitement d’enjeux de société ont été les plus appréciées.
Le cours a été conçu avec une approche modulaire alternant entre les bases théoriques et des conférences invitées couvrant le même concept, mais avec une approche plus holistique et basée sur l’expérience.
Le fait que ce modèle pédagogique – cycle de conférences et recherche sur le terrain – ait été consacré finaliste du concours international de l’Université de Warton « Reimagine Education 2021 » qui l’a sélectionné parmi le top 12% des meilleurs projets acceptés, laisse présager de plus amples développements.
En termes d’employabilité, il sera évalué si les étudiants sont également capables d’intégrer l’ensemble des connaissances acquises à leur cursus, quelle que soit leur faculté, et d’avoir une meilleure compréhension des enjeux managériaux qui dépasse l’approche actuelle orientée vers un enseignement disciplinaire et en mode silo.
Le Cycle de conférences
Les dirigeants qui s’expriment dans le cycle de conférences ci-après souhaitent poursuivre le principe de 45 minutes de conférence et 30 minutes d’interaction avec les étudiants.
L’horaire de 12h15 à 14h00 est le plus compatible avec leur agenda professionnel. Le cours ainsi que les conférences vont s’articuler autour des axes de mutations suivants.
Session 1
Cours. Introduction : philosophie, approche pédagogique et évaluation. Introduction à la dirigeance d’entreprise : analyse de l’environnement et audit stratégique. Défis actuels et futurs.
Enseignant : Professeur en charge de l’enseignement
Session 2
Conférence. De l’analyse environnementale à l’innovation : au cœur de la gouvernance et de la gestion
Conférencier dirigeant d’entreprise
Session 3
Conférence. Évolutions des entreprises et mutations : les leçons du B2B et des marchés de service
Conférencier dirigeant d’entreprise
Session 4
Conférence. Internationalisation et enjeux du secteur du luxe : émergence des nouveaux marchés, géopolitique du luxe et changement de comportement des consommateurs.
Conférencier dirigeant d’entreprise
Session 5
Cours. Transformation digitale et stratégie marketing digital : concept et outils au service de la gestion de la relation client
Enseignant : Professeur en charge de l’enseignement
Session 6
Conférence. L’impact de la digitalisation sur les marchés industriels et le B to B : le cas de l’entreprise x.
Conférencier dirigeant d’entreprise
Session 7
Cours. Risques et opportunités de l’intelligence artificielle : les algorithmes, les nouvelles formes de communication et interactions avec les GAFA
Enseignant : Professeur en charge de l’enseignement
Session 8
Conférence. Repenser la relation client au 21e siècle à la lumière des nouveaux modes et supports de communication : l’exemple de la santé
Conférencier dirigeant d’entreprise
Session 9
Conférence. Évolution des stratégies de marketing dans le domaine bancaire : avec et sans le digital
Conférencier dirigeant d’entreprise
Session 10
Conférence. Économie et distribution durable : la mutation de la logistique mondiale vers une décroissance assumée
Conférencier dirigeant d’entreprise
Session 11
Conférence. Le développement durable au cœur des préoccupations de l’entreprise
Conférencier dirigeant d’entreprise
Session 12
Conférence. La gestion responsable des marques dans le secteur du luxe : le développement durable comme levier de différenciation et de création de valeur
Conférencier dirigeant d’entreprise